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Du SOPK à la grossesse : le parcours de santé de notre fondatrice Louisa

From PCOS to Pregnancy: Unveiling Our Founder Louisa's Health Journey

Nous sommes ravis de vous annoncer des nouvelles passionnantes dans notre dernier podcast !

Notre fondatrice, Louisa Bakker , attend un heureux événement ! Son enthousiasme est communicatif et elle a hâte de partager son expérience. Actuellement enceinte de cinq mois, Louisa est l'invitée de notrepodcast Funky Fat pour nous faire part de ses précieux conseils et nous parler en toute franchise de sa grossesse.

Suivez Louisa dans son incroyable parcours de grossesse, où elle partagera ses joies et ses défis uniques vécus au cours de ces derniers mois. Son témoignage direct promet d'être instructif et touchant, offrant aux auditeurs un aperçu du processus transformateur que représente la parentalité.

Rejoignez-nous pour célébrer cette heureuse nouvelle et profitez des précieux enseignements de Louisa grâce à son récit touchant dans le podcast d'aujourd'hui !

Des hormones, des hormones et encore des hormones…

Le parcours de Louisa avec la contraception a commencé à l'âge de 14 ans, lorsqu'elle a commencé à la prendre pour réguler ses règles irrégulières. Alors que ses amies avaient eu leurs premières règles plus tôt, elle a consulté un médecin pour obtenir des conseils. Bien qu'elle n'ait pas eu de relations sexuelles, elle prenait la pilule uniquement pour réguler ses menstruations. De 14 à 18 ans, elle a continué à la prendre, mais a constaté un engourdissement de ses émotions.

C’est la mère de Louisa qui, la première, a soulevé la question de l’utilisation prolongée de la contraception. À 18 ans, alors qu’elle avait un petit ami et souhaitait prendre soin de son bien-être émotionnel, elle a consulté son médecin, qui lui a donné une seule réponse : elle pouvait arrêter la contraception lorsqu’elle voudrait concevoir un enfant, mais il lui a déconseillé de le faire avant. Malgré cela, Louisa a décidé d’arrêter complètement la contraception.

Suite à cette décision, Louisa a connu divers changements dans son mode de vie et son état émotionnel. Elle a commencé à se préparer à la maternité et a entamé un nouveau chapitre de sa vie.

Après avoir arrêté sa contraception, Louisa a constaté un changement important dans son cycle menstruel. Ses règles ne sont pas revenues immédiatement, ce qui l'a fait douter de sa décision. Environ quatre mois plus tard, elle a décidé de consulter à nouveau son médecin. Celui-ci lui a conseillé d'attendre six mois, suggérant que son corps avait besoin de temps pour s'adapter à l'absence d'hormones contraceptives. Faisant confiance à cet avis médical, Louisa a patienté.

SOPK : la vérité sur son diagnostic

Il lui a fallu environ huit ou neuf mois pour que ses règles reviennent naturellement, sans contraception. Durant cette période, Louisa a pris conscience de l'importance de se renseigner par elle-même et de s'informer sur sa santé. Elle a découvert que le médecin lui avait diagnostiqué un syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) sans effectuer le moindre examen. Cette découverte a semé le doute chez elle et l'a incitée à envisager de consulter un psychologue afin de s'assurer de faire les bons choix pour son bien-être.

Louisa encourage les autres à participer activement à leurs décisions en matière de santé et à ne pas hésiter à remettre en question les avis médicaux. Elle s'interroge sur la pratique consistant à prescrire des contraceptifs aux personnes atteintes du syndrome des ovaires polykystiques (SOPK), et son expérience personnelle l'a incitée à adopter une approche holistique de sa propre santé.

Louisa décida de consulter un professionnel de santé pour approfondir ses connaissances sur son état. Après des examens complets, le médecin confirma le diagnostic de syndrome des ovaires polykystiques (SOPK). Cette nouvelle la plongea dans une profonde tristesse et elle se plongea dans les nombreuses informations disponibles sur Internet, sources d'inquiétudes et d'incertitudes quant aux conséquences du SOPK. L'idée que sa fertilité puisse être affectée la préoccupait énormément.

Forte de sa propre expérience, Louisa recommande vivement aux personnes suspectant un SOPK de se soumettre à des examens appropriés afin de déterminer le type précis de SOPK dont elles sont atteintes. Elle insiste sur l'importance de mener des recherches complémentaires pour mieux comprendre cette affection et ses conséquences.

Dans son parcours personnel, Louisa a délibérément choisi de ne pas utiliser de contraception pour gérer son SOPK. Elle était convaincue que se fier uniquement aux médicaments ne permettrait pas de résoudre les problèmes sous-jacents. Elle a donc opté pour une approche plus naturelle, cherchant à comprendre et à respecter les rythmes naturels de son corps.

Parcours Keto et SOPK

Le parcours de Louisa a pris un tournant inattendu lorsqu'elle a découvert le régime cétogène . Son intérêt naissant a été éveillé par un livre intitulé « Fat For Fuel » du Dr Mercola , qui explorait l'importance des graisses dans la stabilisation hormonale , notamment chez les femmes. En étudiant les principes du régime cétogène, Louisa a fait une découverte remarquable : ses règles sont revenues.

La découverte de ce résultat positif par Louisa fut indéniablement exaltante. La simple prise de conscience qu'elle avait trouvé cette solution par elle-même la remplit d'un profond sentiment d'émerveillement et de fierté. La mise au jour du lien direct entre ses choix alimentaires et le rétablissement de son cycle menstruel fut une expérience enrichissante qu'elle chérit.

L'impact transformateur du régime cétogène sur le corps et l'équilibre hormonal de Louisa a été une véritable révélation. Elle s'est sentie non seulement merveilleusement bien, mais aussi profondément reconnaissante du cheminement qu'elle avait entrepris. Cette révélation personnelle lui a rappelé avec force l'immense valeur d'explorer et de se renseigner sur différentes approches afin de trouver ce qui convient le mieux à la santé et au bien-être général de chacun.

L’importance de cette découverte de soi a trouvé un écho chez Louisa, réaffirmant sa conviction du pouvoir de l’exploration personnelle et de la recherche de solutions sur mesure pour une santé optimale.

Vers l'âge de 18 ou 19 ans, Louisa a entamé le régime cétogène. Déterminée à changer ses habitudes alimentaires, elle a pris la décision d'éliminer le sucre et les glucides de son alimentation. Bien qu'elle n'ait jamais ajouté de sucre à ses plats, elle en consommait dans des produits comme les boissons Starbucks et autres friandises typiques des adolescents. Pour couvrir ses besoins en lipides, elle privilégiait les avocats, même si, au départ, elle ne se souciait pas de son apport en protéines, faute d'en connaître l'importance. Malgré cela, elle a constaté une nette augmentation de son niveau d'énergie. En cuisine, elle privilégiait les bonnes graisses comme le beurre ou l'huile de coco.

Étonnamment, Louisa n'a jamais été tentée de consommer des pâtes ou d'autres aliments riches en glucides, consciente de leur impact potentiel sur sa santé. Rétrospectivement, elle nourrissait une certaine inquiétude, craignant une récidive de déséquilibres hormonaux susceptibles de perturber à nouveau son cycle menstruel.

Son expérience avec le régime cétogène lui a inculqué un sens de la prudence, la motivant à être attentive à l'impact potentiel de ses choix alimentaires sur sa santé hormonale.

Au cours de son expérience avec Funky Fat Foods, Louisa a approfondi sa compréhension de l'importance des protéines dans son alimentation, en parallèle de sa consommation régulière d'huile TCM et d'huile de coco. Elle a continué à enrichir ses connaissances dans ce domaine, en assimilant de précieuses informations. L'une des leçons essentielles qu'elle a apprises est l'importance d'accorder à son corps des périodes de repos, en évitant de grignoter constamment ou de manger toutes les une ou deux heures. En étant à l'écoute de son corps et de ses besoins, Louisa a appris à faire des choix alimentaires éclairés.

Une période stressante = Perte de règles

Après avoir décidé d'arrêter la contraception, Louisa a opté pour le stérilet au cuivre comme méthode contraceptive sans hormones, qu'elle a gardé pendant quelques années. Cependant, désormais en couple, elle et son compagnon ont décidé ensemble de le retirer. Malgré ses inquiétudes quant à l'impact potentiel du SOPK sur sa fertilité, elle est restée fidèle à son mode de vie sain, satisfaite de ses choix et suivant un régime alimentaire équilibré.

Le parcours de Louisa souligne l'importance de trouver un équilibre entre les considérations de santé personnelle, l'écoute des besoins du corps et la prise de décisions éclairées en matière de contraception et de bien-être général.

Cela s'est produit il y a environ deux ans, durant une période particulièrement stressante pour Louisa. Le stress a eu un impact important sur son appétit, entraînant une perte de poids et, par conséquent, des irrégularités menstruelles. Cependant, elle a tiré une leçon précieuse de cette expérience : prendre soin de soi et se nourrir correctement peut contribuer à rétablir son cycle menstruel. Cela lui rappelle l'importance d'un mode de vie équilibré, incluant une alimentation et un repos suffisants.

Le pouvoir des protéines

Les protéines sont devenues un élément central de l'alimentation de Louisa, surtout depuis qu'elle a découvert leurs bienfaits potentiels pour sa santé. Pendant sa grossesse, elle veille à consommer environ 1,5 gramme de protéines par livre de poids corporel. De plus, elle encourage les autres à ne pas craindre de sortir de cétose en consommant davantage de protéines. Louisa est convaincue qu'une fois qu'elle aura repris une alimentation saine, ses règles reviendront naturellement.

Elle souligne l'importance de s'écouter régulièrement, d'observer les réactions de son corps et d'être attentive à des signes tels que son bien-être, les sensations corporelles et l'état de sa peau. Le parcours de Louisa met en lumière l'importance d'une alimentation équilibrée, de l'écoute de son corps et de la capacité à percevoir ses signaux pour favoriser un bien-être général.

Après avoir arrêté sa contraception et retiré son stérilet au cuivre, Louisa a décidé de consulter un spécialiste de la fertilité. Lors de sa consultation, elle a révélé avoir été diagnostiquée d'un syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) à l'âge de 18 ans. À sa grande surprise, le spécialiste lui a annoncé qu'elle ne présentait plus aucun signe de SOPK. Cela signifiait qu'elle et son mari pouvaient enfin réaliser leur projet d'avoir un enfant. Bien que des cycles irréguliers puissent représenter un défi, le médecin lui a conseillé de conserver son alimentation et son mode de vie actuels, qui lui convenaient parfaitement. Son apparence, son bien-être et son équilibre hormonal étaient autant d'indicateurs positifs.

De plus, le médecin lui a suggéré d'introduire occasionnellement de nouveaux aliments dans son alimentation afin de stimuler légèrement son organisme. En janvier 2023, lors de leur séjour à Miami, Louisa a suivi ce conseil, intégrant de temps à autre des fraises à ses repas, en veillant à les accompagner de matières grasses pour éviter les pics de glycémie. À sa grande surprise, à son retour chez elle en février, elle a découvert qu'elle était déjà enceinte.

La rapidité de la conception l'a surprise, mais elle a ressenti une immense joie et un grand bonheur à cette nouvelle inattendue.

Les meilleurs conseils pour les femmes atteintes du SOPK

Pour les personnes atteintes du SOPK, Louisa offre de précieux conseils tirés de sa propre expérience. Elle suggère tout d'abord de ne pas se focaliser constamment sur le désir de tomber enceinte. Il peut être bénéfique de s'occuper l'esprit avec d'autres aspects de la vie. Louisa a constaté qu'adopter un chien en janvier lui procurait un sentiment d'épanouissement, presque comparable à celui d'avoir son premier enfant. Cette distraction lui a permis d'être heureuse et de ne pas être constamment obsédée par la grossesse.

Il est également important de se soumettre à des examens et bilans complets. Savoir qu'elle pouvait concevoir a rassuré Louisa, lui permettant de se concentrer sur d'autres aspects de sa vie avec un nouvel élan.

Pour gérer les symptômes du SOPK, Louisa souligne que les femmes atteintes de cette maladie présentent souvent des taux de testostérone plus élevés et une activité réduite du gène maître. Dans son cas, elle a intégré à sa routine de l'inositol, des suppléments de vitamine D en cas de manque d'exposition au soleil, de l'huile de foie de morue comme source d'oméga-3 et du magnésium . Pendant sa grossesse, elle veille particulièrement à consommer suffisamment de ces nutriments.

Louisa souligne l'importance de garder une attitude positive malgré les difficultés qui peuvent survenir. Différentes approches et interventions peuvent être mises en œuvre pour favoriser le bien-être général. Rester positive et proactive est essentiel pour bien vivre avec le SOPK.

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